Origines familiales
Origines familiales
Léo Justin Laffargue est né le 21 décembre 1864, à Trémolat. Son père, né à Mauzens-Miremont, est tailleur d’habit, sa mère couturière. Le grand-père paternel, domicilié à Journiac, est entrepreneur de travaux publics, et ceci conditionne peut-être l’intérêt de Léo Justin Laffargue pour les questions touchant aux progrès technologiques et aux sciences. Les grands-parents maternels sont agriculteurs à Calès.
Marie Queille, mère de Léo Justin Laffargue.Vers 1910. Archives départementales de la Dordogne, fonds Laffargue-Guimard, 33 Fi 56
Léo Justin Laffargue est né le 21 décembre 1864, à Trémolat. Son père, né à Mauzens-Miremont, est tailleur d’habit, sa mère couturière. Le grand-père paternel, domicilié à Journiac, est entrepreneur de travaux publics, et ceci conditionne peut-être l’intérêt de Léo Justin Laffargue pour les questions touchant aux progrès technologiques et aux sciences. Les grands-parents maternels sont agriculteurs à Calès.
Trois femmes, dont, sans doute, au centre, Marie Queille, mère de Léo Justin Laffargue. Archives départementales de la Dordogne, fonds Laffargue-Guimard, 33 Fi 304
Instituteur, il exerce son premier emploi à Bars, le 1er janvier 1883. Il est ensuite régulièrement muté dans diverses communes de Dordogne. C’est ainsi qu’il est nommé directeur d’école, en 1895, à Vendoire. Il y obtient une nouvelle nomination le 18 janvier 1899, aidé en cela par Edme Simonnet, propriétaire du château de Vendoire, mais aussi maire et conseiller d’arrondissement. Conseillers municipaux et habitants de Vendoire pétitionnent d’ailleurs, en 1898, en faveur de Léo Laffargue en raison des excellents rapports qu’ils ont avec lui en tant qu’instituteur et secrétaire de mairie. Son implication en politique est avérée dans une lettre adressée par un de ses protecteurs au préfet, le 10 août 1907 : “Le but de nos adversaires est de se débarrasser d’un excellent instituteur, foncièrement républicain, à l’action personnelle duquel nous devons une bonne partie du brillant résultat aux élections législatives du 6 mai 1906 de la commune dont il s’agit“.
Léo Justin Laffargue.Vers 1900. Archives départementales de la Dordogne, fonds Laffargue-Guimard, 33 Fi 771
Dès son arrivée à Vendoire, Léo Laffargue prend pension chez Marguerite et Jean Guimard, à l’hôtel du bourg, qui deviendra bien vite, dès 1899, grâce à l’inscription, à la date et au cadran solaire qu’il dessine sur sa façade, le fameux « Hôtel du Cadran ». Jean Guimard décède en 1911, et, quelques années plus tard, en 1919, Léo Laffargue épouse Marguerite et l’aide à élever les qua-tre enfants issus de son premier mariage : Louis, Pierre, Antoine Jean dit Léo et Marguerite. Léo Justin Laffargue prend sa retraite d’instituteur en 1926 et décède à Vendoire le 5 juin 1929.
Marguerite Montauzier, épouse de Jean Guimard puis de Léo Justin Laffargue.Vers 1900. Archives départementales de la Dordogne, fonds Laffargue-Guimard, 33 Fi 287
Dès son arrivée à Vendoire, Léo Laffargue prend pension chez Marguerite et Jean Guimard, à l’hôtel du bourg, qui deviendra bien vite, dès 1899, grâce à l’inscription, à la date et au cadran solaire qu’il dessine sur sa façade, le fameux « Hôtel du Cadran ». Jean Guimard décède en 1911, et, quelques années plus tard, en 1919, Léo Laffargue épouse Marguerite et l’aide à élever les qua-tre enfants issus de son premier mariage : Louis, Pierre, Antoine Jean dit Léo et Marguerite. Léo Justin Laffargue prend sa retraite d’instituteur en 1926 et décède à Vendoire le 5 juin 1929.
Jean Guimard.Vers 1900. Archives départementales de la Dordogne, fonds Laffargue-Guimard, 33 Fi 802
Dès son arrivée à Vendoire, Léo Laffargue prend pension chez Marguerite et Jean Guimard, à l’hôtel du bourg, qui deviendra bien vite, dès 1899, grâce à l’inscription, à la date et au cadran solaire qu’il dessine sur sa façade, le fameux « Hôtel du Cadran ». Jean Guimard décède en 1911, et, quelques années plus tard, en 1919, Léo Laffargue épouse Marguerite et l’aide à élever les qua-tre enfants issus de son premier mariage : Louis, Pierre, Antoine Jean dit Léo et Marguerite. Léo Justin Laffargue prend sa retraite d’instituteur en 1926 et décède à Vendoire le 5 juin 1929.
Vendoire, devant l’hôtel du Cadran.Vers 1900. Archives départementales de la Dordogne, fonds Laffargue-Guimard, 33 Fi 211
Léo Guimard (1899-1969) est le fils de Marguerite et de Jean Guimard. Il a réalisé, lui aussi, un certain nombre de clichés conservés dans ce fonds, également sur plaques de verre. Les plaques de Léo Laffargue et de Léo Guimard ne sont pas séparées et nous nous efforçons de les répartir en fonction de leur auteur. Les vues prises par Léo Guimard cou- vrent forcément une période plus récente, mais elles ont, par ailleurs, un caractère familial plus affirmé, c’est la raison pour laquelle nous ne présentons ici que l’œuvre de Léo Laffargue.
Antoine Léo Guimard.Vers 1910. Archives départementales de la Dordogne, fonds Laffargue-Guimard, 33 Fi 659
Léo Guimard (1899-1969) est le fils de Marguerite et de Jean Guimard. Il a réalisé, lui aussi, un certain nombre de clichés conservés dans ce fonds, également sur plaques de verre. Les plaques de Léo Laffargue et de Léo Guimard ne sont pas séparées et nous nous efforçons de les répartir en fonction de leur auteur. Les vues prises par Léo Guimard cou- vrent forcément une période plus récente, mais elles ont, par ailleurs, un caractère familial plus affirmé, c’est la raison pour laquelle nous ne présentons ici que l’œuvre de Léo Laffargue.
Marguerite, Antoine Léo, Hervé Pierre et Louis Guimard, devant l’école de Vendoire. Vers 1910. Archives départementales de la Dordogne, fonds Laffargue-Guimard, 33 Fi 45
Léo Guimard (1899-1969) est le fils de Marguerite et de Jean Guimard. Il a réalisé, lui aussi, un certain nombre de clichés conservés dans ce fonds, également sur plaques de verre. Les plaques de Léo Laffargue et de Léo Guimard ne sont pas séparées et nous nous efforçons de les répartir en fonction de leur auteur. Les vues prises par Léo Guimard cou- vrent forcément une période plus récente, mais elles ont, par ailleurs, un caractère familial plus affirmé, c’est la raison pour laquelle nous ne présentons ici que l’œuvre de Léo Laffargue.
Paul Guimard et son père, Antoine Léo Guimard.Vers 1935. Archives départementales de la Dordogne, fonds Laffargue-Guimard, photo Léo Guimard, 33 Fi 661